Aujourd’hui, quand Iljir Selimoski joue ce « personnage à bout de forces » décrit par Catherine Marnas, qui tente de retenir l’attention de la personne à laquelle il parle, il le fait aussi en se montrant touchant, drôle, il passe par toutes les couleurs, car l’interlocuteur ne parle pas. Faux dialogue et vrai monologue. Le théâtre à l’image de la vie ?
Jean-François Arnichand